Un membre de notre organisation a été la cible d'une campagne de surveillance numérique sophistiquée. Nous pensons qu'un gouvernement hostile à son travail a délibérément tenté de l'espionner.
En Côte d'Ivoire, lors de la crise post-éléctorale de 2010-2011, plus de 3 000 personnes ont été tuées. Or, les responsables de ces crimes risquent d'obtenir l'amnistie.
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