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samedi 21 juillet 2018

BENNALAGATE ....L’ELYSEE, SES AFFAIRES, SES RÉFORMES, ET SON NERVI - DEHORS !



                                  La Commune : Pour un parti des travailleurs, courant international MST-QI

                                                            L’ELYSEE, SES AFFAIRES, SES RÉFORMES, ET SON NERVI  - DEHORS !

L’ELYSEE, SES AFFAIRES, SES RÉFORMES, ET SON NERVI - DEHORS !

BENNALAGATE

La Lettre de La Commune, nouvelle série, supplément au n° 56 – vendredi 20 juillet 2018
Macron dans la tourmente, titrent les médias. Les parlementaires de tous bords ou presque montent au créneau, en plein débat sur la révision de la Constitution de cette République en perdition. Mais, le pouvoir s’en tient à une enquête préliminaire. Les manifestants interpellés puis jugés en comparution immédiate ou licenciés savent qu’il y a « deux poids, deux mesures ».
Deux semaines après la flambée de colère à Nantes à la suite d’un homicide policier contre un jeune homme inoffensif, l’affaire Benalla, du nom de ce « Body Gard » de Macron qui a frappé un manifestant pacifique, grille la bande à Macron. L’Elysée est au bord de la crise de nerf.
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BENNALAGATE

La Lettre de La Commune, nouvelle série, supplément au n° 56 – vendredi 20 juillet 2018
Macron dans la tourmente, titrent les médias. Les parlementaires de tous bords ou presque montent au créneau, en plein débat sur la révision de la Constitution de cette République en perdition. Mais, le pouvoir s’en tient à une enquête préliminaire. Les manifestants interpellés puis jugés en comparution immédiate ou licenciés savent qu’il y a « deux poids, deux mesures ».
Deux semaines après la flambée de colère à Nantes à la suite d’un homicide policier contre un jeune homme inoffensif, l’affaire Benalla, du nom de ce « Body Gard » de Macron qui a frappé un manifestant pacifique, grille la bande à Macron. L’Elysée est au bord de la crise de nerf.
L’ELYSEE, SES AFFAIRES, SES RÉFORMES, ET SON NERVI  - DEHORS !
Le sieur Benalla avait été licencié par le ministre Montebourg, pour tentative de fuite après un accident de voiture. Il était déjà ce que l’on peut appeler un voyou. Le premier mai, il a infiltré la Police. Tout simplement. Il est devenu ce que l’on appelle un nervi, du nom de ceux qui attaquaient les syndicalistes à coups de nerfs de bœuf.
Il a simplement été suspendu une quinzaine de jours et il est reparu avec Macron, ce lundi, lors du défilé de la Coupe du monde.
Aujourd’hui, Macron – sommé de s’expliquer – tente d’esquiver. Il est acculé. Mélenchon le prie encore de ne pas laisser « pourrir cette affaire ». Trop tard ! Le mal est a fait, irréparable.
Macron en est réduit de prétendre que la République est inaltérable.
Quelle République ?
Comme toujours, le hasard révèle la nécessité. L’accidentel jette une lumière crue sur l’état réel de l’Exécutif, de l’institution-clé du Régime : l’Elysée. Une institution qui agit par-dessus la tête du gouvernement, comme une sorte de réseau parallèle. De quelle nécessité s’agit-il ? De l’urgence de se débarrasser de ce despote au petit bras, de ce faux colosse aux vrais pieds d’agiles. Lui et sa suite.
Les affaires ? Elles éclatent en rafale : son conseiller suspect de favoritisme économique, ses ristournes de campagne qui devraient aboutir légalement à sa destitution et maintenant, cette petite frappe avec qui le Président fait du ski l’hiver et qui l’accompagne partout. Ça créé des liens, non ?
En d’autres circonstances, cette affaire ignoble serait bien vite « circonscrite », mais dans ce pays à cran, rongé par la pauvreté, la précarité, les injustices quotidiennes, les frais bancaires digne du racket qui frappent les petites bourses, la misère des hôpitaux et, maintenant, la panne de croissance, elle prend un relief singulier.
D’ailleurs, comment pourrait-on « relativiser » cette affaire ?
Cette affaire interfère directement sur la tentative de révision absolutiste de la constitution de Macron, devenue le maillon faible de toute la chaîne des réformes pestilentielles.
Si besoin était, cette affaire montre de façon irréfutable que l’Elysée ne recule devant aucune bassesse, se vautrent dans l’abjection, à l’image, il est vrai, de ces réformes qui détruisent la vie quotidienne et la vie démocratique.
La Cour des miracles cède le pas à la Bande à Macron, à la monarchie des voyous.
La révolte, la colère, le refus gagne toute la population travailleuse et pauvre, toute la jeunesse et au-delà, de toute façon.
Tout commence à basculer
A SUIVRE


20 juillet 2018

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