Le projet, élaboré par des représentants de la politique, de l’ONU, du secteur privé et de la société civile, entend identifier les champs à développer pour profiler la Suisse et la Genève internationale en matière de gouvernance mondiale. Mais il n’a, pour l’heure, pas convaincu le gouvernement fédéral. L’ex-patron de l’EPFL Patrick Aebischer estime qu’il ne faut pas trop tarder
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