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vendredi 23 février 2018

SANTE et MEDECINE - Vaccins : peut-on résister à la propagande des institutions ? (Et à leurs fake news ?)


SANTE et MEDECINE


Institut pour la Protection de la Sante Naturelle

Vaccins : peut-on résister à la propagande des institutions ? (Et à leurs fake news ?)

Il y a une quinzaine de jours, une émission du service public, La Maison des maternelles (France 5) proposait à son public de jeunes parents inquiets une interview du ministre de la Santé, Madame Agnès Buzyn.

J’avais deux bonnes raisons de regarder ce moment de télévision. D’abord, je fais partie du public cible, ensuite Maître Bergel-Hatchuel, qui porte notre action auprès du Conseil d’État, intervenait dans cette émission.

La première chose qui m’a marqué est que le ministre donne l’impression de mieux maîtriser ce dossier que celle qui l’a précédée.

Ce n’est pas difficile puisque Marisol Touraine ne s’y est jamais intéressé. Il lui est arrivé de confondre « BCG » et « DTP » lors d’une interview (1) !

Madame Buzyn domine le dossier. Elle le borde même. Elle l’enroule avec autorité. Et pourtant, quand on y regarde de près, son discours est lui aussi, truffé d’inexactitudes.

Des journalistes complaisants

Dans cette émission, des journalistes complaisants l’interrogent. S’installe un jeu curieux de soumission où ils en appellent soit au ministre, soit au médecin.

À travers leurs remarques et leurs questions, les journalistes laissent imaginer que le scénario décrit par le ministère est réel :

Il y aurait une vaste population qui ne demande qu’une chose : se faire vacciner au plus vite.
Mais à cause d’un petit groupe de complotistes antivaccins qui sème de fausses informations, cette bonne population hésite et s’inquiète.

C’est un peu une théorie du complot inversée !

Il y aurait bien un complot. Il serait fomenté par tous ceux qui ne pensent pas comme le ministre…

À la fin de la séquence, l’une des journalistes va même jusqu’à présenter le site Internet du journal Le Monde, « Les décodeurs », qui décrypte quels sont les « bons » sites Internet d’information et les « mauvais ».

Nous voilà rassurés !

Quant aux victimes de la vaccination, c’est essentiellement un fantasme des complotistes.

Dans cette ambiance « bon enfant », Agnès Buzyn est à son aise.

À la décharge des journalistes, leurs questions, ainsi que celles du public, sont utiles.

Elles mettent en avant les nombreux doutes légitimes de la population.

Elles permettent, par ailleurs, de montrer les contradictions qui existent dans le discours de Mme Buzyn (vous retrouverez la vidéo ici).

Dans le fond, ce qui est malheureux avec ce type de discours, c’est qu’il nous prive d’un débat intelligent et fructueux sur la vaccination et plus encore sur l’obligation vaccinale (qui est le vrai problème). J’y reviendrai.

« Aucun effet secondaire » à déclarer !

En attendant, je vous propose d’analyser ce que dit le ministre parce que cette communication auprès des jeunes parents est importante.

Mme Buzin n’a pas choisi cette émission au hasard. C’est presque une communication officielle. L’émission aurait pu avoir lieu au ministère de la Santé.

Tout au long de ses explications, le ministre martèle que les vaccins sont sûrs. Elle affirme qu’ils ne provoquent aucun effet secondaire. Elle le dit si souvent qu’on se demande si elle ne doute pas !

Elle insiste beaucoup sur le vaccin hépatite B, qui serait fiable.

C’est du reste l’une des premières questions qui est posée par une maman. Faut-il faire vacciner son enfant avec le vaccin hépatite B, pour un rappel, si lors de la première injection, le vaccin utilisé ne contenait pas l’hépatite B.

Le ministre dit non. Mais elle ajoute :

« Je suggère fortement à cette maman de faire le vaccin hépatite B. Il est extrêmement bien toléré dans la petite enfance [...]. Protéger nos enfants, grâce à un vaccin qui n'a, je le rappelle, aucun effet secondaire. [...]. Tout ce qu’on a entendu avec les maladies provoquées par les vaccins est faux. Et ça été scientifiquement prouvé. » 

Cette affirmation est étonnante.
D’abord parce que plusieurs décisions de justice, qui s’appuient sur des expertises médicales, ont estimé que le lien pourrait exister.

La Cour de justice de l’Union européenne dans sa décision du 21 juin 2017 dit :
« En l'absence de consensus scientifique, le défaut d'un vaccin et le lien de causalité entre celui-ci et une maladie peuvent être prouvés par un faisceau d'indices graves, précis et concordants (2). »
Le juge tranche moins que le ministre…
Par ailleurs, pendant des années, les associations de victimes, dont le Revhab, ont recueilli des témoignages de patients ou de médecins évoquant des effets secondaires liés au vaccin hépatite B. Selon ces associations il y a des effets secondaires (3) :
➔ Locaux : douleurs, rougeur, érythèmes ;
➔ Généraux : fatigue, fièvre, lymphadénopathie ;
➔ Allergiques : asthme, myalgies, arthrite ;
➔ Digestifs : nausées, douleurs abdominales ;
➔ Neurologiques : maladie de Guillain-Barré, névrite optique, sclérose en plaques.
Le site officiel Infovac (4) en dresse du reste lui-même une liste : réactions locales chez 10% des patients, fièvre et fatigue chez certaines personnes et réactions allergiques graves chez une petite minorité.

Le vaccin n’est donc pas sûr à 100 % comme le dit Mme Buzin.

Il ne peut évidemment pas l’être.

Aucun médicament n’est sûr à 100%.

Seuls les vaccins, en revanche, sont obligatoires.

Et les supervaccins?

Par ailleurs, se limiter à la question du seul vaccin hépatite B n’est pas convaincant.

Car pour les tout-petits, on ne propose jamais un vaccin hépatite B seul. On prescrit des supervaccins comme le vaccin Infanrix hexa de GSK.

Et la liste des effets secondaires présentée par le laboratoire GSK pour ce vaccin est assez longue (5). Elle comprend les effets indésirables suivants :

  • Très fréquent : perte d’appétit, cris inhabituels, irritabilité, agitation, fièvre ≥ 38° C, gonflement localisé au site d’injection (≤ 50 mm), fatigue, douleur, rougeur ;
  • Fréquent : nervosité ;
  • Peu fréquent : infection des voies respiratoires supérieures, affections hématologiques et du système lymphatique, somnolence, toux ;
  • Rare : lymphadénopathie, thrombocytopénie, réactions anaphylactiques, réactions anaphylactoïdes (incluant urticaire), réactions allergiques (incluant prurit), collapsus ou état de choc, bronchite, apnée, éruption cutanée, angioedème, gonflement du ventre vacciné dans sa totalité, nodule au site d’injection, vésicules au site d’injection;
  • Très rare : convulsions (avec ou sans fièvre), dermatite.
Sur le site Internet www.thériaque.org, d’autres effets secondaires sont recensés pour la vaccination contre l’hépatite B : malaise, fièvre, céphalées, asthénies syndrome pseudo grippal, vertiges, vomissements, diarrhées, nausées, paresthésies, douleurs abdominales… (la liste est beaucoup plus longue).

Les effets indésirables les plus graves sont rares ou très rares, heureusement.

Dire qu’ils n’existent pas est un inexact.

Comment dit-on déjà chez les décodeurs? Ah oui, une fake news !

Défendre la vaccination est honorable et sûrement nécessaire.

Dire que les vaccins sont sans risques pour tout le monde est faux, donc injuste.

On ne construit pas des règles pénales sur des injustices. Or l’obligation vaccinale est une loi pénale.

« L’allaitement ne protège pas totalement contre les maladies »

Madame Buzyn a affirmé différents points qui laissent songeur :

Comparant allaitement et vaccins, elle a précisé que « l’allaitement ne protège pas totalement contre les maladies ». Elle sous-entend que les vaccins, oui. Ce qui est un peu rapide.

L’immunité est quelque chose de complexe dans lequel joue de nombreux éléments : le microbiote, l’environnement, le degré d’intoxication, l’allaitement, les vaccins, etc.

Les immunologues eux-mêmes s’y perdent parfois pour expliquer les mécanismes en jeu. Le directeur de la vaccination chez Sanofi lui-même avait dit à ses équipes de commerciaux, dans une vidéo qui avait fait le tour des réseaux sociaux : « Il n’y a pas de solution miracle pour produire un vaccin. On ne sait pas vraiment comment les produire. » Et plus loin : « On ne comprend pas comment marche les vaccins ». Il ajoute encore : « Si on voulait faire des progrès en vaccinologie, il faudrait analyser la réponse immunitaire » (6).

Cette vidéo est intéressante parce qu’elle montre que les industriels ne sont sûrs de rien. Le médecin raconte différentes anecdotes sur la vaccination. Par exemple, en 1960, 60 millions d’Américains ont reçu un vaccin dans lequel se trouvait un virus cancérigène chez le singe. « Par chance » ce virus n’était pas adapté à l’homme. Cette vidéo révèle un grand nombre d’histoires de ce type, plus dramatiques les unes que les autres. Le médecin conclut, sincère, que la grande crainte des industriels, ce n’est pas les maladies mais la contamination par des virus ou d’autres agents pathogènes…

Comment en est-on à rendre obligatoire des traitements, dont les producteurs eux-mêmes disent qu’ils ne savent rien et dont ils redoutent les pires effets ?

Et la grippe ?

À propos du vaccin contre la grippe, le ministre a précisé : « La leçon c'est que les vaccins, ça fonctionne. Ça éviterait des hospitalisations. Ça éviterait des épidémies. » 

À dire vrai, on ne voit pas bien ce dont elle parle. Chez les personnes âgées, les personnes vaccinées meurent autant quand elles sont vaccinées que lorsqu’elles ne le sont pas. L’effet de la vaccination est très inefficace, comme le dit la Haute Autorité de santé elle-même :

« Les dernières méta-analyses tant chez les personnes âgées que chez les professionnels de santé ne démontrent pas d’efficacité de la vaccination, ce qui est interprété à tort comme une preuve d’inefficacité. » 
Par ailleurs, le taux de vaccination contre le grippe aux États-Unis est passé de 15 à 65% depuis les années 80. Le taux de mortalité lié à la grippe, lui, n’a pas changé.

Cela aurait fait l’objet d’une bonne question au ministre.

Les journalistes auraient pu demander : Pourquoi la Haute Autorité de santé dit-elle que les études montrent qu’il n’y pas d’efficacité de la vaccination contre le grippe ?

Ou alors pourquoi faut-il se faire vacciner contre la grippe, si on risque autant que ceux qui ne sont pas vaccinés, comme c’est le cas aux Etats-Unis ?

Insolence ! Fake news ! aurait dit le ministre.

Oui, mais il faut savoir, Madame le ministre, ce sont vos chiffres, vos administrations !

Le lien entre vaccins et fibromyalgie

Ailleurs le ministre nous dit :

« Il n'y a pas de lien prouvé du tout entre fibromyalgie et vaccin contre l'hépatite B. Mais entre fibromyalgie et vaccin. C'est-à-dire que scientifiquement aujourd'hui, ce lien n'a jamais été démontré. »
C’est obscur.

Le ministre semble dire que le vaccin hépatite B est nécessairement innocent pour la fibromyalgie. Mais d’autres vaccins, peut-être ? Elle n’ose pas trancher devant une victime (tiens, celles-ci existent alors ?).

Sur la rougeole...

Une mère de famille hésite à faire vacciner son enfant contre la rougeole. Son mari a fait une encéphalite (inflammation dans le cerveau) à un an lorsqu’il a été vacciné. Mme Buzin, fidèle à elle-même réagit vite : le vaccin ROR est un vaccin vivant atténué. Ces vaccins ne sont pas recommandés chez les personnes immunodéprimées. Mais c’est très rare. Elle précise très vite que les cas d’encéphalite lors d’une rougeole sont de 1/1500 alors que pour les vaccins, c’est 1/10 millions.

Un peu plus tard dans l’émission, alors que l’on parle à nouveau de la rougeole, le ministre fustige ceux qui ne se vaccinent pas. Ce sont « des passagers clandestins » dit-elle. Ils profitent du fait que 80% de la population est vaccinée pour ne pas se faire vacciner. Et cela, rappelle-t-elle, provoque des épidémies « comme à Bordeaux récemment où 87 personnes ont attrapé la rougeole ».

Mais alors, Mme le ministre, cela veut-il dire que l’on peut développer la maladie, même en étant vacciné ? 

Sans aucun doute, puisque à Bordeaux, 20% des personnes ayant contracté la rougeole étaient vaccinées. 

La vaccination collective

L’argument de l’intérêt collectif pour la vaccination est très souvent employé. C’est un argument efficace car il permet de culpabiliser les gens et de les diviser. Ceux qui sont vaccinés en veulent à ceux qui ne le sont pas.

Mais il sous-tend, d’une part, que ceux qui sont vaccinés ne sont pas réellement protégés, puisqu’ils peuvent tout de même contracter la maladie ; d’autre part, que cette vision laisse de côté les victimes. Vacciner 100% de la population avec 11 vaccins, et même beaucoup plus, c’estsacrifier une partie de la population pour l’intérêt de tous. 

L’histoire a connu des sociétés qui, pour le bon plaisir de leurs dieux, sacrifiaient une partie de leur population. Je pensais ces temps ensanglantés révolus !

Et l’aluminium ?

Me Bergel a pu poser une question sur l’aluminium dans les vaccins qui inquiète légitimement de nombreuses familles.

Mais le ministre a minimisé les faits. Agnès Buzyn a commencé par insister sur le fait que nous vivions dans un univers rempli d’aluminium : capsules de café, casseroles, etc. Cela est parfaitement exact.

Elle a ajouté que l’aluminium que nous côtoyons n’était pas toxique.

Cela est faux, malheureusement. Les travaux du Pr Chris Exley sur Alzheimer ou tout récemment sur l’autisme (que vous pouvez retrouver ici en anglais) ou encore les travaux du Pr André Picot sur les sels d’aluminium utilisés dans l’eau démontrent que l’aluminium est dangereux pour notre santé. Oui, on en élimine une partie, oui le silicium peut nous aider à l’éliminer, mais malheureusement ce métal reste dangereux pour nous. Il a créé des démences, il a créé Alzheimer. Pourquoi l’injecter dans les vaccins aux tout-petits, alors que l’on peut faire autrement ?

Dans son intervention, Me Jacqueline Bergel rappelle qu’on inocule 3,8 mg d'aluminium au nourrisson avec les 11 vaccins obligatoires. Cela dépasse les seuils autorisés tolérés par les adultes.

Après avoir vu la vidéo, voici comment à réagit le Pr Henri Joyeux :

« L’intervention de Me Bergel sur l’aluminium est claire, je dirai même lumineuse, mais la visiteuse médicale répond à côté, avec l’aluminium des casseroles et des capsules de café. Elle se moque des travaux de R .Gherardi non reconnus par la science…
Nous devons continuer le combat. »

Pourquoi les laboratoires pharmaceutiques n’utilisent-ils pas le phosphate de calcium comme adjuvant ? Il est aussi efficace et beaucoup moins toxique… Pourquoi le ministre n’use-t-elle pas de son pouvoir pour imposer ce changement ?

Mais le ministre balaie la question de l’aluminium d’un revers de la main : on s’en sert depuis longtemps, c’est un problème franco-français…

1000 plaignants pour la liberté vaccinale

Comment résister face à la force des firmes pharmaceutiques liées au pouvoir institutionnel et au soi-disant contre-pouvoir médiatique ?

L’IPSN a choisi de poursuivre son action contre l’aluminium qui nous semble être la priorité.

Notre position reste la même. Nous pensons qu’il faudrait une politique vaccinale discutée entre patients et médecins, apaisée, intelligente et individualisée.

Aujourd’hui, la politique vaccinale est unilatérale, coercitive et industrialisée. Il n’y a ni dialogue, ni nuances, ni adaptations !

Un autre collectif, EPVL (Ensemble pour une Vaccination Libre) a décidé de lancer une plainte pénale. Les signataires demandent la liberté vaccinale. Même si nous ne sommes pas exactement sur la même ligne, je relaie auprès de vous leur action courageuse. Elle intéressera un certain nombre d’entre vous.

Une chose est sûre, face à l’offensive ministérielle, nous ne pouvons pas rester les bras croisés. Il faut se battre !

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois





Communication du collectif Ensemble pour une Vaccination libre

Plainte pénale contre les 73 vaccins obligatoires : Rejoignez les 1000 premiers plaignants !

Résistons !

Alors que rien ne le justifie, le gouvernement français actuel a décidé (ce fut même sa première mesure) d'imposer à nos enfants l'inoculation de nouveaux vaccins obligatoires, dès l'âge de six semaines et jusqu'à 18 mois !

Rien d'avouable ne peut justifier une telle décision : ni la recherche scientifique, ni le moindre risque épidémique et encore moins l'efficacité thérapeutique desdits vaccins !

Il y a une certitude, c'est qu'il ne faut pas croire le ministre de la Santé, Agnès Buzyn, lorsqu'elle parle de la vaccination et de la prétendue absence de dangerosité des « 11 » vaccins !

En fait de « 11 », ce sont 73 vaccins qui vont être injectés dans les muscles (et sans doute dans les capillaires sanguins pour certains) des 800 000 nourrissons à naître en France en 2018 !

73 vaccins entre 6 ou 8 semaines et 18 mois, alors qu'aucun risque épidémique ne menace la France, et encore moins l'humanité, et que scientifiquement rien ne justifie une telle vaccination de masse !

73 vaccins avec leurs métaux lourds neurotoxiques, comme de l'aluminium et du mercure, ou avec leurs substances chimiques, comme le formol, aux effets parfois mortels.

Ils violent nos droits fondamentaux d'être humain !

Le « libre consentement éclairé », principe médical éthique universel reconnu en 1947 dans la foulée du deuxième procès de Nuremberg, qui jugea les médecins nazis pour leurs crimes expérimentaux sur des êtres humains, semble n'avoir aucune importance à leurs yeux.

Ce principe est jeté aux orties par le ministre de la Santé Agnès Buzyn et les partisans des « vaccins-à-tout-prix-et-quoi-qu'ils-contiennent ».

Rappelons qu'au Canada et que dans la plupart des États des USA, chaque citoyen peut s'opposer à la vaccination obligatoire au nom de sa liberté de conscience ou de sa religion !

Les vaccins seraient sûrs et sans danger…

Allez dire cela aux Philippins qui comptent depuis décembre 2017 les enfants morts après la vaccination massive contre le virus de la dengue avec les vaccins français du groupe Sanofi-Pasteur !

Rappelons-nous des discours « officiels » lors des affaires de l'amiante ou du Médiator®.

Les « scientifiques » en place, les « journalistes santé », les responsables politiques et les représentants du lobby de l'amiante ou du lobby pharmaceutique, nous chantaient à l'unisson, la main sur le cœur et la voix suave : « L'amiante ? Cela n'a jamais déclenché le moindre cancer (on attend encore plus de 100 000 morts dans les prochaines années) », « le Médiator® ? Jamais fait de mal à personne (les « experts » officiels prévoient 1800 morts) ».

Mais n'oublions pas que ce qui est en cause aujourd'hui, ce n'est pas le principe de la vaccination, ce sont :

  • les substances utilisées pour fabriquer ces « vaccins »,potentiellement mortelles ou en tout cas susceptibles de provoquer de graves maladies neurologiques, en particulier les adjuvants à base d'aluminium, ou des substances chimiques comme le formol ;
  • la « pertinence » physiologique de vacciner des nourrissons dès six ou huit semaines ;
  • l'absence la plus élémentaire d'évaluation des risques pour chaque nourrisson, pris individuellement (les bébés ne sont pas des machines identiques au service des profits des laboratoires pharmaceutiques et de leurs obligés, qu'ils soient politiciens ou « journalistes santé ») ;
  • le remplacement du principe de précaution par celui du « bénéfice-risque » au service des laboratoires : augmentation maximum de leurs bénéfices et risque nul puisqu'en cas d'effet secondaire, y compris dramatiques, c'est l'Etat (Oniam), c'est-à-dire nos impôts et taxes, qui indemnise les victimes (si elles sont encore vivantes après des années de procédures !) ;
  • la vaccination de masse qui nie les particularités individuelles qui rendent certains nourrissons allergiques à toute vaccination.
Et enfin, ce qui est en cause, ce sont nos droits de femmes et d'hommes libres d'être responsables de nos corps face à la dictaturedes laboratoires pharmaceutiques qui se met en place.

Et à ce jour, personne n'a pu nous expliquer pourquoi on rend obligatoire aujourd'hui l'extension de la vaccination, alors qu'en septembre 2014, les autorités médicales en recommandaient l'abandon pur et simple ?

Si vous partagez notre combat, si le sort des 800 000 bébés à naître en 2018 ne vous est pas indifférent, si vous n'acceptez pas la violation de nos droits fondamentaux d'être humain, rejoignez-nous, il y a urgence !

Maître Serge Lewisch va très prochainement transmettre au procureur de la République les 1000 premières plaintes pénales signées.

Nous vous proposons de nous rejoindre en signant à votre tour cette plainte pénale complétée des événements les plus récents (nous ne cesserons d'envoyer les nouvelles au procureur de la République).

Soyons, 5 000, soyons 10 000, soyons encore plus nombreux à nous opposer fermement à ce crime contre « l'immunité » pour reprendre l'expression d'Isabelle Adjani !

Pour résister avec nous, il vous suffit :

  1. de télécharger, de lire la plainte pénale avec attention cliquez ici pour la plainte pénale ;
  2. d'imprimer et de signer la dernière page de la plainte pénale ;
  3. de télécharger et d'imprimer et de le remplir (renseignements sur l'état civil, etc.) : cliquez ici pour le formulaire ;
  4. de faire une copie de votre pièce d'identité ;
  5. de numériser ces trois documents ;
  6. de nous les renvoyer par email à l'adresse suivante : " vaccination-plainte-penale1801@gcpww.org " ou par courrier à l'adresse suivante : Maître Serge Lewisch,132, boulevard du Montparnasse - FR 75014 Paris.
Bien à vous et très amicalement.

Sophie Guillot, porte-parole du collectif « Ensemble pour une Vaccination Libre » contact@epvl.eu

Pierre Lefevre, porte-parole du collectif « Libre consentement éclairé »lefevre@gcpww.org

Résistons !

Nous rappelons que notre petite équipe et totalement bénévole et que Maître Serge Lewisch (sergelewischavocat@gmail.com) nous représente pro bono (gratuitement) jusqu'au dépôt des plaintes au Procureur.

Si d'autres procédures sont nécessaires par la suite, comme celle de faire nommer un juge d'instruction, chacun sera sollicité par avance pour son accord et jamais il ne vous sera demandé la moindre somme d'argent sans que vous en ayez donné formellement l'autorisation avant.

Résistons !

Rappel :

Notre action est soutenue par MEDECINE & PHARMACOPEE CHINOISES FRANCE qui se met bénévolement à notre service pour la gestion administrative de notre collectif.Vous pouvez soutenir notre action en faisant un don, même pour 1 euro !

Par virement bancaire :

IBAN : FR76 1820 6002 5765 0396 8037 242 – BIC : AGRIFRPP882

RIB : BANQUE : 18206 GUICHET : 00257 N° de COMPTE : 65039680372 CLÉ : 42

DOMICILIATION : PARIS ORDENER (00257)

TITULAIRE DU COMPTE : ASSOC. MÉDECINE ET PHARMACOPÉE CHINOISE FRANCE

Par chèque à l'ordre de : « ASSOC. MÉDECINE ET PHARMACOPÉE CHINOISE FRANCE »

Adressé à :

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