Dans la presse étrangère |
Tensions autour de l’absence du président nigérian |
Le président du Nigeria, Muhammadu Buhari, s’adresse aux membres de son cabinet, à Abuja, le 10 mars 2017. SUNDAY AGHAEZE / AFP
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Les enfants soldats de l’EI. La relève de la haine est déjà prête. L’organisation Etat islamique (EI), qui perd du terrain en Syrie, a recruté et entraîné une armée d’enfants djihadistes. Le lavage de cerveau débute dès l’âge de cinq ans, à grand renfort de doctrine radicale (enseignée à l’école) et de démonstrations punitives de la part des unités mobiles de propagande. Passionnante, mais terrifiante enquête de la BBC, qui a rencontré en Europe deux jeunes recrues ayant fui Rakka et pétries de désillusions.
Dilemme canadien sur les demandeurs d’asile haïtiens. Ottawa risque de passer pour plus « vilain » encore que Donald Trump. Des milliers de familles originaires de Haïti sont entrées dans le pays depuis quelques semaines. Résidant aux Etats-Unis grâce à un statut de réfugié temporaire à la suite du tremblement de terre de 2010, elles craignent d’être renvoyées dans leur pays. Mais beaucoup ne répondent pas aux critères nécessaires, même au Canada. Et si les parents sont expulsés en Haïti, les enfants nés aux Etats-Unis devront retourner sur le territoire américain. Une séparation des familles intenable. La Presse
Rwanda : la douleur des « enfants du viol ». Au cours du génocide de 1994, 250 000 à 500 000 femmes ont été violées, selon les estimations. Celles qui sont tombées enceintes ont connu la honte. Leur enfant, dont le géniteur a massacré leur famille, leur rappelle sans cesse le drame qu’elles ont vécu. Stigmatisés comme les fils et filles des tueurs, au lieu d’être vus comme des victimes, ceux-ci souffrent de ne pouvoir écrire le nom de leur père et entretiennent souvent des relations complexes avec leur mère. Reportage sur les ondes de la Deutsche Welle.
La difficile ascension de la princesse de Cornouailles. En Grande-Bretagne, Camilla Parker Bowles, abhorrée après la mort de Diana, a mis plus de vingt ans à se faire accepter des sujets de Sa Majesté. Pour eux, cette ancienne maîtresse et actuelle épouse du prince Charles a causé la séparation du couple, en 1996. Les efforts constants déployés pour redorer son image ont payé, mais, à en croire les sondages, les Britanniques refusent toujours qu’elle puisse devenir reine un jour.24heures
Source Le Monde.fr
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