L'hôte de l'Élysée rêve d'une « start-up nation », à l'image de ces entreprises « jeunes pousses » qui fleurissent dans les nouvelles technologies, et d'un « État plateforme », sur le modèle Uber. Sous des dehors modernes et « cool », se dessine en fait un pouvoir autoritaire au seul profit des entreprises.
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