à lire sur Libération - lundi 12 juin 2017

                                                         
Lundi 12 juin 2017

Législatives : abstention partout, opposition nulle part ANALYSE Au terme d’un premier tour terni par le pire taux de participation de l’histoire de la Ve République, la formation présidentielle est en passe d’obtenir une majorité écrasante à l’Assemblée.

Législatives : vers la poursuite d'une crise de régime PAR GAËL BRUSTIER Le politologue Gäel Brustier a analysé pour «Libération» les résultats du premier tour des élections législatives. Législatives : retrouvez tous les résultats circonscription par circonscription ELECTIONS Cambadélis, Duflot… le grand ménage de printemps parisien RÉSULTATS Dans la capitale, terrain propice au développement du mouvement de Macron, les candidats En marche ont écrasé des poids lourds de la droite comme de la gauche. Au FN, le marinisme en plein marasme RÉSULTATS Le score du Front national est presque identique à celui de 2012. Une stagnation qui affaiblirait Marine Le Pen. EDITORIAL OFFERT Coup de plumeau Laurent Joffrin Aux innocents les mains pleines… Novice en politique, Emmanuel Macron est en passe de remporter le grand chelem le plus spectaculaire de la Ve République.... Abonnez-vous à Libération A partir d'un 1€ le premier mois   S'ABONNER Libération 12 juin 2017 VOIR LE JOURNAL Les socialistes sur un champ de ruines RÉSULTATS Avec 7 à 10% des voix, le PS essuie une défaite historique. Le travail des «reconstructeurs» de la jeune génération s’annonce colossal. La droite bousculée jusque dans ses bastions ANALYSE La large victoire d’En marche rebat toutes les cartes chez Les Républicains. Le parti va devoir gérer la fracture entre les partisans de l’ouverture et ceux d’une ligne plus dure. Coup de plumeau EDITORIAL ZAP' POLITIQUE «Injustice», «leçon» : le PS tente d'expliquer sa déroute aux législatives ZAP' POLITIQUE Record d'abstention aux législatives : les réactions au lendemain du premier tour Bertrand candidat à la présidence des Républicains ? «Je me tais», lance-t-il