Pour cause de récoltes mondiales supérieures à la demande solvables depuis trois ans, les prix des céréales restent trop bas pour rémunérer les producteurs. Mais, pour les même raisons, les graines à huile, dont le colza, connaissent désormais des prix qui évoluent en dents de scie. Une insécurité de plus pour les paysans comme pour les entreprises de trituration qui transforment ces graines en huile de table, en diester et n tourteaux pour l’alimentation du bétail.
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