Dans la presse étrangère |
En Israël, Donald Trump à hue et à dia ? |
Le président des Etats-Unis, Donald Trump (à droite), et le premier ministre d’Israël, Benyamin Nétanyahou, arrivent à une conférence de presse commune à la Maison Blanche, le 15 février 2017. MANDEL NGAN / AFP
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Histoire taboue au Brésil. 36 rue Pedro Ernesto, à Rio de Janeiro. Cette adresse, qui se trouve dans le quartier de Gambo, n’est pas un lieu banal. En effet, elle abrite le plus grand cimetière d’esclaves des Amériques. Un musée y a été érigé en leur mémoire, mais, faute de subventions suffisantes, celui-ci s’apprête à fermer ses portes. Preuve que le gouvernement de Michel Temer se désintéresse des questions mémorielles liées à l’esclavage. Jeune Afrique
Justiciers autoproclamés d’Europe. Ils sont en chasse. Leur « gibier » de prédilection ? Les migrants. En Allemagne et en Bulgarie, des milices d’autodéfense ont décidé de prendre les choses en main, en dispensant leur propre justice, souvent de manière violente. A Berlin comme à Sofia les autorités ont promis d’empêcher ces groupes de se substituer aux forces de police. Mais, en pratique, rien n’a été fait en ce sens, observe The Daily Beast.
Izmir, vivier djihadiste inattendu. Vue de l’extérieur, Izmir passe pour être la ville la plus progressiste de Turquie, un vieux bastion inexpugnable du sécularisme national. Mais cette réputation plutôt flatteuse est en train de s’éroder. Ces derniers temps, en effet, la cité de l’ouest représente un terreau de recrutement privilégié pour l’organisation Etat islamique (EI). The Irish Times explique les ressorts de cette métamorphose improbable.
Israël-Palestine : les raisons du statu quo. C’est une question que tout le monde se pose : pourquoi Israéliens et Palestiniens ne sont-ils jamais parvenus à la paix ? Dans son ouvrage, The Only Language They Understand : Forcing Compromise in Israel and Palestine, dont le Guardian publie des extraits, l’analyste Nathan Thrall explique que cela tient avant tout à la volonté d’immobilisme d’Israël, pour qui le coût de l’inaction est préférable à celui de l’action.
Source Le Monde.fr
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