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vendredi 24 mars 2017

Elections 2017 - Les 5 infos de la présidentielle aujourd'hui - vendredi 24 mars 2017

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Drapeau français Elections 2017
Les #5 infos de la présidentielle aujourd'hui
Hollande répond sèchement à Fillon, Hamon face aux "trahisons", Fillon dément avoir reçu des SMS en plein débat...
Hollande répond sèchement à Fillon, Hamon face aux "trahisons", Fillon dément avoir reçu des SMS en plein débat...
Grands discours, petites phrases, propositions chocs ou anecdotes… Chaque jour, jusqu'au 7 mai 2017, date du second tour de l'élection présidentielle, franceinfo résume ce qu'il ne faut pas rater de l'actualité de la campagne. Voici l'essentiel à retenir de ce vendredi 24 mars.

#1Après les accusations de "cabinet noir", Hollande charge Fillon

"Il n'y a pas de cabinet noir à l'Elysée", insiste François Hollande, ce matin surFrance Bleu. Au lendemain des accusations de "cabinet noir" portées par François Fillon, le président de la République réplique : "Il y a un cabinet, heureusement, qui travaille mais nous n'avons pas à nous mêler des affaires et vous savez, ma position, ça a toujours été l'indépendance de la justice, le respect de la présomption d'innocence et de ne jamais interférer. Je crois que c'est très différent de mes prédécesseurs."
"Ce qui est clair, c'est que tout est clair ici et ce qui n'est pas clair, c'est ce que monsieur Fillon doit justifier auprès de la justice", poursuit le chef de l'Etat. Et François Hollande ajoute : "Il y a une dignité, une responsabilité à respecter."

#2Hamon ne "s'attendait pas à autant de trahisons"

"Je ne m'attendais pas à autant de trahisons." L'aveu est signé Benoît Hamon, invité ce matin sur Europe 1. Après le ralliement de Jean-Yves Le Drian à Emmanuel Macron, le candidat socialiste poursuit : "Parce que ce sont des trahisons, des trahisons pas de moi, je ne demande rien, mais d'une histoire, de valeurs que nous représentons, de la place qui doit être celle de la gauche."
Distancé par Jean-Luc Mélenchon dans certains sondages, Benoît Hamon assure :"Moi je n'ai pas l'habitude d'être impressionné par l'air du temps, c'est le destin des feuilles mortes, l'air du temps. Je suis un combattant." "Même quand j'observe que les vents sont mauvais, je combats, je ne combats pas pour moi, j'ai parfaitement conscience de la difficulté de la tâche, mais je ne la redoute pas."

#3Fillon dément avoir reçu des SMS pendant le débat

"Je vous assure que je ne reçois jamais de SMS pendant une émission. Encore une calomnie supplémentaire", a dénoncé hier soir François Fillon lors de "L'Emission politique" sur France 2. Le candidat de la droite réagissait aux informations selon lesquelles il recevait des notes et des conseils sur son téléphone de la part de sa conseillère en communication lors du débat entre les cinq favoris à la présidentielle, lundi soir sur TF1.
Pourtant, le Huffington Post publie une vidéo qui montre bien François Fillon en train de consulter son smartphone.

#4Philippot assure que le FN n'aura pas de financements venant d'une banque russe

Alors que Marine Le Pen est en visite ce matin à Moscou, Florian Philippot était l'invité de franceinfo. Interrogé au sujet du bouclage financier de la campagne de Marine Le Pen, le vice-président du Front national explique : "Nous avons quelques pistes ailleurs, mais je peux vous dire que ce ne sera pas en Russie",précisant qu'il n'y a "toujours passez d'argent". "Je regrette que ce ne soit pas en France, parce que les banques françaises refusent de prêter à la seule candidate Marine Le Pen", déplore-t-il.

#5Les syndicats prennent position contre le FN

La CGT doit annoncer aujourd'hui sa position sur le Front national avant l'élection présidentielle. A deux reprises (en 2002 et 2012), le syndicat avait appelé à battre le FN puis Nicolas Sarkozy, mais ces positions étaient intervenues entre les deux tours de l'élection présidentielle. Face à la percée du Front national dans les intentions de vote, plusieurs syndicats s'engagent : la CFDT a envoyé dès lundi un argumentaire anti-FN à ses adhérents. La FSU, principal syndicat de la fonction publique, appelera également à "faire barrage au Front national." La CFDT, elle, a décidé d'exclure ses adhérents qui militeraient au Front national.
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