En Algérie, Un journalistes Africtivistes Abdou Semmar, est menacé de mort suite à un article sur le fils d’un Ministre du Gouvernement algérien qui occuperait depuis peu un luxueux logement de fonction, par la rédaction de son journal: "Algérie-Focus".
Pour en finir avec les intimidations, menaces, diffamation et la répression de la liberté d'expression des citoyens et médias engagés Algérie. Signez et diffusez massivement cet appel de la Ligue des blogueurs et cyber-activistes africains pour la démocratie,; "Africtivistes"
Suite à un article sur le fils d’un Ministre du Gouvernement algérien qui occuperait depuis peu un luxueux logement de fonction, par la rédaction d’Algérie-Focus, celle-ci est l’objet d’une véritable campagne de dénigrement dirigée par des pages Facebook qui seraient affiliées à des chapelles politiques.
Par ailleurs, le rédacteur en chef de ce média, Abdou Semmar, un membre d’Africtivistes, subit des accusations diffamatoires contenant des propos attentatoires à sa vie privée et à son intégrité physique.
Il est reproché au rédacteur en chef d’être inféodé au clan du Ministre Abdesslam Bouchouareb. Il est par ailleurs reproché à Algérie-Focus de “rouler” pour le compte d’un opérateur de téléphonie mobile. Rien et surtout pas ces accusations, qui de surcroit seraient sans fondements, ne peuvent légitimer une atteinte à l’intégrité physique ou morale d’une personne dans un pays de droit.
Ces appels au meurtre, menaces de mort à peine voilées diffusées et assumées publiquement, cette campagne de dénigrement constituent une dangereuse dérive et une violation gravissime de la législation algérienne.
Reprocher sa liberté de ton et son engagement à un média représente une grave atteinte à liberté des journalistes et Hommes de média de s’exprimer librement mais aussi d’informer leurs concitoyens.
Nous, Africtivistes, considérons ces menaces et intimidations arbitraires et abusives. Les multiples attaques perpétrées à l’encontre des médias indépendants et des journalistes critiques, la censure et la répression de la liberté d’expression, en Algérie, est un recul démocratique et un manque de respect aux engagements internationaux pris en matière de droits humains. Ces pressions et menaces n’émousseront, en aucun cas, l’engagement des médias indépendants à informer les citoyens de la manière la plus objective et professionnelle.
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