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lundi 22 août 2016

Hollande, Merkel et Renzi en Italie pour parler d’Europe et de Brexit


Dans la presse étrangère

Hollande, Merkel et Renzi en Italie pour parler d’Europe et de Brexit

François Hollande, Angela Merkel et Matteo Renzi.
François Hollande, Angela Merkel et Matteo Renzi. MARKUS SCHREIBER / AP
  • François Hollande, la chancelière allemande Angela Merkel et le premier ministre italien Matteo Renzi se retrouvent lundi dans le sud de l’Italie, sur l’île de Ventotene, lors d’une rencontre informelle tripartite pour discuter du Brexit.
  • Il s’agit d’une nouvelle réunion informelle avant une rencontre à 27, près de deux mois jour pour jour après le référendum britannique en faveur de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, le 23 juin dernier. The Guardian
  • Le lieu de la rencontre n’a pas été choisi au hasard, puisque l’île de Ventotene est le lieu où a été rédigé en juin 1941 le manifeste du même nom par deux intellectuels emprisonnés, Ernesto Rossi et Altiero Spinelli. Pour une Europe libre et unie, le nom complet du texte, est considéré comme un ouvrage précurseur du fédéralisme européen. RAIPolitico
  • Pourtant, pour le Financial Times, il est très peu probable que la réunion de lundi ou la rencontre des 27 ne mènent à des propositions pour plus d’Europe politique et plus d’intégration, un projet plus que fragilisé et bloqué par de nombreux pays de l’Union européenne.
  • « Le rôle de l’Italie est de construire des ponts, à l’heure ou tous veulent ériger des murs », a déclaré dimanche Matteo Renzi, lors d’une rencontre publique.« L’Europe a besoin des valeurs de l’Italie », a-t-il ajouté, faisant référence à la grave crise migratoire européenne alors que des centaines de migrants continuent de périr en tentant de traverser la Méditerranée pour rejoindre l’Europe. La Stampa
  • Selon BuzzFeed, le gouvernement italien souhaite pousser l’Union européenne vers« moins d’austérité, et plus de discussions autour de l’emploi et des familles, plutôt que de la finance et des banques », demandant « une eurozone qui n’est pas qu’une monnaie commune mais travaille main dans la main sur la culture, la défense et la sécurité ».
  • Sources Le Monde.fr 

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