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vendredi 26 août 2016

EN IMAGES. Ciotti, Darmanin, Lellouche... Comment les néo-sarkozystes ont retourné leur veste

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EN IMAGES. Ciotti, Darmanin, Lellouche... Comment les néo-sarkozystes ont retourné leur veste

Parmi les personnalités qui affichent aujourd'hui leur soutien envers Nicolas Sarkozy, plusieurs élus ne l'ont pas épargné de critiques il y a quelques temps.

A trois mois de la primaire de la droite, Nicolas Sarkozy a mis fin au non-suspense. Le 22 août, l'ancien président a officialisé sa candidature, face à François Fillon, Alain Juppé, Jean-Frédéric Poisson, Bruno Le Maire, Jean-François Copé, Henri Guaino, Frédéric Lefebvre, Nathalie Kosciusko-Morizet, Nadine Morano, Hervé Mariton, Jaques Myard et Geoffroy Didier, tous aspirants candidats d'ici au dépôt définitif des listes, le 9 septembre. 

Dès mardi, l'ancien président, battu par François Hollande en 2012, a rassemblé ses soutiens. Parmi eux figurent des fidèles de toujours, mais aussi quelques personnalités jadis critiques envers l'ex-chef de l'Etat. Voici ce qu'ils disaient avant de rallier Nicolas Sarkozy...
                                         
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Cité par Le Canard enchainé, Laurent Wauquiez estimait en mars 2015 que le président 
du parti n'avait "plus rien à voir avec le Sarko de 2012", rapportait Europe 1. En soutenant
 finalement Nicolas Sarkozy, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes s'est
 finalement assuré sa succession à la tête du parti Les Républicains. 

                                         
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Avant de rallier Nicolas Sarkozy, Eric Ciotti a longtemps accordé sa confiance à François
 Fillon. Exemple avec cette déclaration dans un entretien à Valeurs Actuelles, en juillet 2014

                            
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Pendant les régionales, Christian Estrosi avait refusé de se soumettre au "ni-ni" (ni-FN ni PS)
 prôné par Nicolas Sarkozy, estimant notamment qu'aller trop à droite faisait monter le 
parti frontiste. Et avant cela, l'ancien ministre ne s'était pas privé de critiquer publiquement
 l'ancien chef de l'Etat, comme dans Nice-Matin en juin 2014.
                            
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En 2009, François Baroin confiait au Monde tout le mal qu'il pensait du débat sur l'identité
 nationale lancée par le président d'alors. Chiraquien, il s'est mainte fois opposé à Nicolas
 Sarkozy sur des questions comme la laïcité, sur laquelle le maire de Troyes se veut
 plus modéré. 
                           
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Avant d'apporter son soutien à Nicolas Sarkozy, le député de Paris Pierre Lellouche figurait
 sur la liste des parlementaires soutenant l'ex-Premier ministre François Fillon. Un revirement
 étonnant pour celui qui, en novembre 2015, assurait sur Franceinfone pas croire en la
 victoire en 2017 de l'ancien président
                            
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Supporter de Xavier Bertrand, Gérald Darmanin a été le directeur de campagne de
 Nicolas Sarkozy pour la présidence de l'UMP en 2014. Mais début janvier 2016, le 
député-maire de Tourcoing claquait la porte de la direction du parti, exprimant dans
 Le Parisien son désaccord "avec l'orientation que Nicolas Sarkozy semble prendre"

                              
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Si Christian Jacob a toujours été un fidèle de Nicolas Sarkozy, il a longtemps, dans le 
passé, accordé son soutien à Jean-François Copé. Alors que celui-ci souhaite obtenir
 les parrainages nécessaires pour se présenter à la primaire, le président du groupe
 Les Républicains à l'Assemblée a finalement décidé de suivre Nicolas Sarkozy, 
contredisant cette déclaration de novembre 2010. 

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