27/09/2013
AFRIQUE DU SUD /AZANIE : Marikana n’était pas un accident tragique mais un massacre délibérément provoqué par la police
RAPPEL : lors du déclenchement la grande grève des mineurs de Marikana d’août-septembre 2012 , la police (aux ordres du gouvernement de l’ANC et du président Zuma, auquel participe le Parti communiste sud-africain et qui bénéficie de l’appui de la direction de la COSATU, la principale confédération syndicale du pays) avait ouvert le feu tuant plus de 50 mineurs. Face à l’indignation qui a soulevé tous les travailleurs noirs d’Afrique du Sud, le gouvernement Zuma avait dû constituer une commission d’enquête. Un an plus tard, cette commission n’a pas conclu ses travaux, les familles des mineurs tués ou blessés, n’ont obtenu aucune compensation. Aucun des participants directs du massacre n’a été déféré devant la justice.
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ImprimerGRÈCE : grève de cinq jours des enseignants, meurtre perpétré par les néonazis…
Reportage. Paru dans Informations ouvrières n° 270, 26 septembre
Quatre-vingt-dix pour cent de grévistes le premier jour de la grève de cinq jours des enseignants du secondaire avec leur syndicat OLME ! Un chiffre jamais atteint et qui indique la rage de toute la classe ouvrière grecque à en finir avec la politique barbare des mémorandums de la troïka, en particulier avec le plan de 15 000 licenciements dans le public.
AFGHANISTAN : Les autorités locales sont responsables du drame dans la mine de charbon
Le gouvernement afghan et un porte-parole du ministère des Mines et du Pétrole continuent à répandre des informations mensongères et à rendre l’opposition armée et les pays voisins responsables de l’effondrement de la mine de charbon à Samangan. Ils avancent l’argument inepte que l’opposition veut dénigrer les résultats de leur ministère !
Cependant, le 23 septembre 2013, un rapport d’investigation, effectué par les représentants des travailleurs et de la société civile, sur l’explosion qui s’est produite dans la mine de charbon, dans la province de Samangan, en Afghanistan, prouve que les autorités locales ont fait preuve d’un grave manque de responsabilité et de beaucoup d’ignorance.
20/09/2013
ETATS-UNIS : lettre ouverte aux dirigeants ouvriers du pays à propos de la Syrie
A : Richard Trumka, président de la confédération américaine AFL-CIO ; Dennis Van Roekel, président du syndicat des enseignants national Education Association ; Mary Kay Henry, présidente du syndicat des employés Service Employees International Union ; James Hoffa, président du syndicat des camionneurs International Brotherhood of Teamers ; Robert McElhrath, président du syndicat des dockers International Longshore and Warehouse Union.
Les militants syndicaux soussignés s’opposent fermement à une attaque aérienne des Etats-Unis contre la Syrie. Nous savons que vous avez entendu les nombreux arguments avancés contre une telle attaque.
BURUNDI : Parti des travailleurs et de la démocratie PTD "Rompre avec le cadre stratégique de « lutte contre la pauvreté »"
Editorial de « Tribune libre des travailleurs » mensuel du Parti des travailleurs et de la démocratie PTD
Quelques jours à peine après que Rwasa Agathon, président des FNL, Forces nationales de libération, aile de parti non reconnue par le ministre de l’Intérieur, ait fait une sortie spectaculaire d’une clandestinité qui avait duré trois ans, les représentants des Banyamulenge, populations de la RDC assimilées aux Tutsi, qui avaient trouvé refuge à Gatumba, fuyant les exactions des milices maï-maï et FDLR (Front démocratique de libération du Rwanda) et autres, ont porté plainte auprès du procureur général de la République, le 13 août 2013, contre Rwasa Agathon lui-même et Pasteur Habimana.
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