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lundi 29 avril 2013

La faute des socialistes qui s'en prennent à l'Allemagne de Merkel

                                               Challenges

La faute des socialistes qui s'en prennent à l'Allemagne de Merkel

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EDITORIAL Ce week-end aura été marqué par une nouvelle déchirure au sein du PS autour de la relation franco-allemande. Et, en la matière, les anti-Merkel commettent une erreur de jugement.

Lors du dernier Carnaval de Nice, la chancelière allemande était représentée, l'air mauvais, un Bretzel à la main. Ce week-end, une partie du PS n'a pas hésité à faire dans la caricature, obligeant Jean-Marc Ayrault à rectifier le tir. (SIPA)
Lors du dernier Carnaval de Nice, la chancelière allemande était représentée, l'air mauvais, un Bretzel à la main. Ce week-end, une partie du PS n'a pas hésité à faire dans la caricature, obligeant Jean-Marc Ayrault à rectifier le tir. (SIPA)
Alors que le pouvoir se rebelle contre le french bashing dont il serait victime à l’étranger, les hiérarques du parti socialiste ont décidé de pratiquer le german bashing à haute dose comme dérivatif. Or, la critique systématique et irrationnelle du grand partenaire historique et économique de la France est "nocive", et "dangereuse", pour reprendre les termes d’Elisabeth Guigou la présidente –socialiste – de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée.
Les appels de Claude Bartolone, le président de l’Assemblée nationale, à une "confrontation" avec l’Allemagne ne sentaient déjà pas très bon de la part du troisième personnage de l’Etat. Enhardie, l’aile gauche du PS a passé sa journée du 26 avril à mettre Angela Merkel dans sa ligne de mire en préparation d’un texte qui sera soumis aux militants le 16 juin, avant que Jean-Marc Ayrault, dans deux tweets -en allemand et en français- ne signe la fin de la récréation.
Mais c’est d’un Arnaud Montebourg débridé que devrait venir le plus grand danger: à l’occasion d’une sortie "off" dans un cercle privé, il s’est lancé le 25 avril dans une attaque inouïe de la politique de l’Allemagne, pays de rentiers, attachés par calcul à un euro fort et à des taux d’intérêt élevés....
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