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mardi 26 février 2013

Répression syndicale: "La violence faite à celles et ceux qui ont décidé de ne pas renoncer"

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L'invité de la semaine

Répression syndicale: "La violence faite à celles et ceux qui ont décidé de ne pas renoncer"


Jackie Teillol, président du comité de soutien aux cinq syndicalistes poursuivis à Roanne.
Président du comité de soutien aux cinq syndicalistes poursuivis à Roanne, Jackie Teillol est l'invité de la semaine dans l'Humanité.
Ce mardi, il raconte "le rouleau compresseur en marche" de la répression syndicale, alors que le Front de gauche présente ce mercredi son projet de loi à l'Assemblée nationale en faveur de l'amnistie pour tous les salariés, les syndicalistes, poursuivis pour fait de lutte et de résistance.
Le Front de gauche mobilise ce mercredi à 13 heures devant l'Assembléenationale pour le projet de loi sur l'amnistie sociale
"Un des aspects redoutables et souvent cachés de la criminalisation de l’action collective touche jusqu’à la blessure profonde les personnes individuellement concernées. Lorsque la première convocation de l’appareil judiciaire arrive à la maison, on se dit: les motifs invoqués sont volontairement exagérés, c’est de l’intimidation car ils n’ont rien à se mettre sous la dent, donc cette procédure ne peut aller bien loin. Eh bien non! Car c’est le début d’une tranche de vie que l’on n’oubliera jamais.
Pourtant, notre pratique militante nous a rendus forts dans nos convictions et dans notre tête. On sait également que nos arguments sont, y compris juridiquement, incontestables pour faire face à leurs élucubrations ridicules et vides de sens. D’ailleurs, la suite nous donne raison comme quand, par exemple, les plaintes sont retirées. Mais que nenni! Le rouleau compresseur est en marche et leur histoire continue.
Alors arrivent d’autres convocations portées à domicile par une cohorte de « représentants de l’ordre » qui, par souci de ne pas se tromper, demandent dix fois aux voisins l’adresse qu’ils ont sous les yeux....
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