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mercredi 30 janvier 2013

Rythmes scolaires, loi Peillon, acte III de la décentralisation: le gouvernement veut disloquer l’école publique


Rythmes scolaires, loi Peillon, acte III de la décentralisation: le gouvernement veut disloquer l’école publique

Les enseignants parisiens du primaire manifestent-2013-01-22_14-29-25
picto_prendre_position(Tract national du POI du 30 janvier 2013)  Samedi 26 janvier, le ministre Peillon a publié au Journal officiel son décret modifiant les rythmes scolaires, pièce maîtresse de sa loi de « refondation de l’école ».
En soumettant l’école publique et ses maîtres à un « projet éducatif territorial », la loi Peillon vise à faire éclater le cadre national des programmes scolaires et des diplômes.
Tract POI 30-01-13
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Pourquoi les enfants n’apprendraient-ils plus la même chose à Paris, à Lyon, à Marseille, à Saint-Denis, dans les beaux quartiers, dans les quartiers plus populaires ou dans les campagnes ?
Les municipalités pouvant facturer aux familles les activités qu’elles organiseront de 15 h 30 à 16 h 30, comment feront les parents d’élèves ? Quitteront-ils leur travail pour accueillir leurs enfants ? Paieront-ils une garderie ?
En fait, la loi Peillon et le décret sur les rythmes scolaires ne peuvent avoir qu’une seule conséquence : la dislocation de l’école, comme l’acte III de la décentralisation ne peut avoir comme conséquence que la dislocation de la République.
Légitime, l’aspiration à la mobilisation dans l’unité pour rejeter les plans d’austérité et les contre-réformes !
Retrait du décret sur les rythmes scolaires !
Retrait du projet de loi du gouvernement de refondation de l’école !
Non à l’acte III de la décentralisation !

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