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mardi 29 janvier 2013

"Il ne faut pas grossir le problème des Roms bulgares"


                                    Le Nouvel Observateur


"Il ne faut pas grossir le problème des Roms bulgares"

Créé le 29-01-2013 à 16h55 - Mis à jour à 19h24
Pour le président Rossen Plevneliev, qui rencontrait François Hollande lundi soir, il convient de mieux "intégrer" les Roms en Europe
Le président bulgare Rossen Plevneliev avec François Hollande (AFP)
Le président bulgare Rossen Plevneliev avec François Hollande (AFP)
Le président bulgare Rossen Plevneliev rencontrait François Hollande lundi 28 janvier à Paris. Il revient pour "le Nouvel Observateur" sur les liens économiques, culturels et européens entre la France et son pays, ainsi que sur la question des Roms.

Lorsqu'on entend parler de la Bulgarie en France, c'est souvent en lien avec la question des Roms. Cette question perturbe-t-elle les rapports entre les deux pays ?

- Non, car notre démarche est la plus juste qui soit. Les gouvernements français et bulgare travaillent ensemble et il ne faut pas grossir ce problème. Il y a environ 2.000 Roms bulgares en France, dont 80% résident tout à fait légalement. Ils restent donc environ 400 personnes pour lesquelles nous essayons d'effectuer un travail le plus humain possible. La seule façon de régler cette question est d'intégrer les Roms.

Qu'entendez-vous par "intégrer les Roms" ?

- Il s'agit de trouver une perspective économique pour ces populations au niveau européen, grâce notamment aux fonds structurels. Et la Bulgarie travaille très sérieusement à ce sujet. Nous avons une stratégie admirée par nos partenaires européens. Nous sommes en train de débuter les premiers projets de travail pour donner des possibilités de formations aux Roms afin de leur donner une perspective économique....
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